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Filtre pour grille de reprise 600x600 mm
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Filtre à grille de reprise 500x400 mm
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Filtre pour grille de reprise 400x200 mm
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Pourquoi les filtres de climatisation sont essentiels
Lorsqu’un climatiseur fonctionne, il aspire l’air ambiant pour le refroidir ou le chauffer, puis le renvoie dans la pièce. Durant ce processus, l’unité capte non seulement la température, mais aussi toutes les particules en suspension : poussières, pollen, poils d’animaux, bactéries, moisissures, fumées et autres polluants. Sans filtre ou avec un filtre obstrué, ces particules se diffusent dans l’air conditionné, ce qui peut entraîner des problèmes de santé (allergies, crises d’asthme, irritations respiratoires) et dégrader le confort intérieur. Un filtre performant retient efficacement ces impuretés pour garantir un air sain, tout en préservant les composants internes du climatiseur (évaporateur, échangeur, ventilateur).
Pourquoi les filtres de climatisation sont essentiels
Lorsqu’un climatiseur fonctionne, il aspire l’air ambiant pour le refroidir ou le chauffer, puis le renvoie dans la pièce. Durant ce processus, l’unité capte non seulement la température, mais aussi toutes les particules en suspension : poussières, pollen, poils d’animaux, bactéries, moisissures, fumées et autres polluants. Sans filtre ou avec un filtre obstrué, ces particules se diffusent dans l’air conditionné, ce qui peut entraîner des problèmes de santé (allergies, crises d’asthme, irritations respiratoires) et dégrader le confort intérieur. Un filtre performant retient efficacement ces impuretés pour garantir un air sain, tout en préservant les composants internes du climatiseur (évaporateur, échangeur, ventilateur).
Fonctionnement des filtres de climatisation
Le principe de fonctionnement d’un filtre de climatisation repose sur la capture mécanique, électrostatique ou chimique des particules. Les filtres mécaniques, souvent constitués de fibres synthétiques ou de papier plissé, agissent comme un tamis : plus la densité des fibres est élevée, plus la finesse de filtration est importante. Par exemple, un filtre plissé de haute qualité peut arrêter jusqu’à 95 % des particules de 0,3 à 1 micron, ce qui correspond aux particules fines responsables de nombreux problèmes respiratoires. Les filtres électrostatiques, quant à eux, génèrent une charge électrique statique qui attire les particules comme un aimant. Ces filtres sont réutilisables : il suffit de les nettoyer régulièrement à l’eau ou avec un aspirateur, puis de les remettre en place. Enfin, certains filtres combinent un support mécanique à un agent actif (charbon actif ou couches anti-bactériennes) pour piéger les odeurs, les gaz volatils (COV) et réduire la prolifération microbienne.
Dans la pratique, un climatiseur standard est généralement muni d’un filtre à mailles ou plissé livré d’origine. Ce filtre, installé en amont de l’évaporateur, doit être remplacé ou nettoyé périodiquement. En cas de négligence, un filtre encrassé augmente la pression à l’entrée de l’unité, ce qui se traduit par un surcroît de consommation électrique (jusqu’à 10 % de surconsommation selon certaines études) et un risque de gel de l’évaporateur. Par conséquent, au-delà de la simple qualité de l’air, un filtre correctement dimensionné et bien entretenu améliore l’efficacité globale du système, diminue les coûts de fonctionnement et prolonge la durée de vie de l’appareil.
Types de filtres de climatisation
Sur le marché, on trouve plusieurs catégories de filtres, adaptées aux besoins et au budget de chacun. Comprendre leurs caractéristiques et leurs performances vous aidera à faire un choix judicieux.
Filtres à mailles synthétiques (ou filtres à cadre métallique)
Les filtres à mailles synthétiques, souvent montés sur un cadre métallique, sont principalement destinés à arrêter les particules grossières (poussière, poils d’animaux). Leur grille en fibres synthétiques est simple à remplacer, mais offre une filtration limitée, généralement jusqu’à 30 % de particules de taille supérieure à 10 microns. En revanche, ils sont robustes, bon marché (entre 5 € et 15 € le filtre standard), et faciles à entretenir. Un nettoyage mensuel par aspersion et séchage est recommandé pour conserver un débit d’air optimal. Cependant, ils ne suffisent pas si l’on souhaite éliminer les particules fines ou les allergènes plus petits, et ne conviennent pas à des locaux sensibles (allergiques, bureaux à fort passage).
Filtres plissés haute efficacité
Les filtres plissés représentent la catégorie la plus répandue dans les climatiseurs résidentiels. Constitués de plusieurs plis en papier ou en fibres synthétiques, ils offrent une surface de filtration plus grande, ce qui se traduit par une meilleure capture des particules fines. On trouve des indices MERV (Minimum Efficiency Reporting Value) qui, classés de 1 à 16, évaluent la capacité d’un filtre à retenir différentes tailles de particules. Par exemple, un filtre de MERV 8 retient environ 70 % des particules de 1 à 3 microns, tandis qu’un MERV 13 capture plus de 90 % des particules de cette taille. En France, on se réfère plutôt aux échelles ISO (jusqu’à ISO 16890) ou aux labels FPR (Filter Performance Rating). Un filtre plissé de qualité moyenne (MERV 8/ISO ePM10 > 50 %) coûte entre 15 € et 25 € et doit être remplacé tous les 3 à 6 mois selon l’environnement (pollution, présence d’animaux, fréquence d’utilisation). Un filtre haut de gamme (MERV 13/ISO ePM2.5 > 50 %) peut atteindre 30 €-40 € et offre une protection renforcée contre le pollen, les bactéries et certaines particules fines, idéal pour les personnes allergiques ou immunodéprimées.
Filtres électrostatiques
Les filtres électrostatiques misent sur l’attraction électrostatique pour capturer les particules. Ils se présentent sous la forme d’un cadre plastique ou métallique, sur lequel sont fixées des cellules en polymères chargés électriquement. Les particules sont attirées et retenues grâce à la force électrostatique. L’avantage principal est la réutilisabilité : il suffit de nettoyer le filtre tous les 1 à 2 mois (en moyenne, on enlève 95 % des poussières accumulées) à l’eau tiède, puis de le sécher avant de le remettre en place. Cela permet d’économiser sur le coût des remplacements et de réduire les déchets. En revanche, dans un environnement très pollué, l’efficacité diminue progressivement si le nettoyage n’est pas rigoureux. De plus, il peut y avoir une légère perte de charge liée à l’humidité ou à l’usure des cellules électrostatiques au fil des années (la charge baisse d’environ 10 % après 2 ans d’utilisation continue).
Filtres à charbon actif (ou charbon charboné)
Ces filtres combinent souvent un support mécanique (plissé ou électrostatique) et une couche de charbon actif. Le charbon actif est un matériau poreux dont la surface interne gigantesque (600 à 1200 m² par gramme) piège les molécules organiques volatiles, les odeurs de cuisine, de tabac ou les gaz d’échappement. Ils sont particulièrement recommandés dans les zones urbaines ou industrielles où l’air contient un grand nombre de polluants gazeux. En moyenne, un filtre à charbon actif peut retenir 95 % des COV (formaldéhyde, benzène, toluène) et neutraliser efficacement les odeurs. Leur durée de vie est plus courte (3 à 4 mois en usage intensif), et leur prix s’élève entre 30 € et 50 €, selon la quantité de charbon et la finesse du support.
Comment choisir ses filtres de climatisation
Le choix d’un filtre de climatisation ne se limite pas à la simple étiquette MERV ou à son prix. Plusieurs critères techniques et pratiques doivent être pris en compte pour sélectionner le filtre le mieux adapté à votre situation.
Critères de performance à évaluer
Premièrement, la finesse de filtration est essentielle. Elle se mesure généralement en fonction de la taille des particules retenues. Pour un particulier, un filtre capable de retenir les particules de 2,5 microns (PM2,5) à hauteur de 50 % ou plus (équivalent ISO ePM2,5 > 50 %) est un bon compromis entre qualité de l’air et consommation électrique. À titre d’exemple, un filtre de type ISO ePM2,5 > 65 % coûte environ 30 € et garantit une réduction notable des poussières fines, responsables de pathologies cardiovasculaires et respiratoires. Deuxièmement, la charge de l’air (ou perte de charge) doit être compatible avec la puissance de votre système. Un filtre trop dense risque de réduire le débit d’air de 15 % à 25 %, ce qui se traduira par une baisse de performance frigorifique et une surconsommation pouvant atteindre 10 %. Enfin, la résistance aux contraintes environnementales (humidité, température, présence d’odeurs) et la durabilité du matériau doivent être considérées. Par exemple, un filtre mousse ou électrostatique supporte mal une humidité supérieure à 80 %, ce qui le rend inadapté aux régions tropicales ou à une utilisation fréquente en mode déshumidification.
Compatibilité avec l’unité de climatisation
Chaque unité de climatisation possède des spécifications précises concernant la taille et l’épaisseur du filtre (10 mm, 20 mm ou 30 mm, parfois même 50 mm pour les systèmes centralisés). Avant tout achat, il est indispensable de relever les dimensions exactes du filtre d’origine (longueur, largeur et épaisseur). Par exemple, pour un climatiseur mural de 9 000 BTU/h, on retrouve souvent des filtres de dimensions 490 × 470 × 10 mm. Installer un filtre plus épais ou plus fin peut compromettre l’étanchéité du cadre, créer des infiltrations d’air non filtré ou endommager le châssis. En outre, certains fabricants imposent l’utilisation de filtres certifiés (norme AHRI ou Eurovent) pour garantir la validité de la garantie du climatiseur. Sur geoplanete.fr, vous trouverez des filtres conçus sur mesure pour de nombreuses marques et modèles (Daikin, Mitsubishi, Samsung, LG…), avec des références précises permettant un remplacement rapide et sécurisé.
Durée de vie et budget
Le budget alloué à un filtre de climatisation doit être envisagé sur l’année plutôt qu’à l’unité. Par exemple, un filtre plissé de milieu de gamme (à 20 €) remplacé tous les quatre mois représente un coût annuel de 60 €. À l’inverse, un filtre électrostatique à 50 € peut durer 2 à 3 ans s’il est bien entretenu, mais demande du temps pour le nettoyage (entre 20 et 30 minutes par opération) et, parfois, un léger rechargement électrostatique au moyen d’un spray spécial. Enfin, pour les filtres à charbon actif, un budget de 120 € à 150 € par an peut être nécessaire pour un foyer urbain souhaitant éliminer efficacement les polluants gazeux et les mauvaises odeurs. Il convient aussi de comparer le coût du filtre à ses performances : un filtre haut de gamme qui augmente l’efficacité de la climatisation de 5 % à 7 % peut rapporter une économie d’énergie de 20 € à 30 € par an, ce qui peut rentabiliser le surcoût initial.
Entretien et remplacement des filtres
Pour garantir une performance optimale, l’entretien régulier des filtres est indispensable. Un filtre encrassé est non seulement moins performant pour retenir les polluants, mais il force aussi le système à travailler davantage, accélère l’usure du compresseur et peut même engendrer un dégivrage intempestif de l’évaporateur lors de l’utilisation en mode froid.
Fréquence de nettoyage ou de remplacement
En règle générale, pour un logement occupé quotidiennement, un filtre plissé de qualité standard doit être remplacé tous les trois mois en hiver (chauffage) et tous les deux mois en été (climatisation) : la fréquence plus élevée en été s’explique par une utilisation intensive et par l’augmentation de la concentration de pollen et de poussières fines. En région urbaine, où la qualité de l’air est souvent médiocre, il est conseillé de changer ou de nettoyer le filtre tous les 4 à 6 semaines. Pour les filtres électrostatiques, un nettoyage mensuel est préconisé ; il faut également vérifier l’ionisation tous les 6 mois et recharger la charge électrostatique à l’aide d’un spray prévu à cet effet pour maintenir une efficacité élevée (supérieure à 90 % de rétention des particules de 5 microns). Enfin, pour un filtre à charbon actif, la saturation en COV et en odeurs se manifeste par une odeur persistante même après nettoyage. Dans ce cas, il convient de changer le filtre environ tous les 3 mois en zone fortement polluée, et tous les 4 à 6 mois en zone péri-urbaine.
Étapes pour nettoyer ou remplacer le filtre
- Coupez impérativement le système de climatisation ou débranchez l’appareil pour des raisons de sécurité.
- Ouvrez le panneau avant du climatiseur ou retirez la grille de protection. Sur la plupart des modèles, il suffit de soulever le capot puis de faire glisser le filtre vers l’extérieur.
- Inspectez le filtre : s’il est visiblement très encrassé ou déformé, préférez le remplacement. Un filtre dont la structure est abîmée ou humide ne reprendra pas son efficacité.
- Pour un filtre électrostatique, passez-le sous l’eau tiède (30 °C à 40 °C) sans utiliser de savon agressif ni de détergents. Laissez-le tremper 10 minutes si la poussière est très incrustée, puis rincez abondamment. Séchez-le à l’air libre, à l’abri du soleil direct, jusqu’à obtention d’une surface parfaitement sèche (comptez au minimum 4 heures).
- Pour un filtre plissé, utilisez un aspirateur muni d’une brosse douce pour enlever le maximum de poussières, puis, si nécessaire, rincez rapidement sous un jet d’eau modéré. Ne laissez pas tremper plus de 30 secondes, car l’eau peut détériorer la colle qui maintient les plis.
- Pour un filtre à charbon actif, lavez simplement le support extérieur (cartouche), mais ne tentez pas de rincer le charbon. Lorsque les performances de décontamination des odeurs baissent (mesurable en laboratoire ou perceptible à l’odorat), remplacez la cartouche.
- Après nettoyage ou remplacement, reposez le filtre dans le sens indiqué (flèches de circulation de l’air vers l’intérieur du bloc). Vérifiez que le filtre est bien enclenché pour éviter les fuites d’air non filtré.
- Refermez le capot et remettez sous tension. Notez la date d’entretien ou de remplacement pour planifier la prochaine opération.
Conseils pratiques pour prolonger la vie du filtre
- Maintenez une pièce propre : un sol dépoussiéré, des rideaux régulièrement lavés et des meubles essuyés réduisent considérablement la quantité de poussière aspirée par le climatiseur. Un filtre encrassé plus lentement aura une durée de vie supérieure de 20 % à 30 %.
- Installez un préfiltre externe si votre climatiseur le permet : un premier niveau de filtration à mailles grossières arrêté en façade empêche les grosses particules (cheveux, poils, feuilles) de pénétrer et d’obstruer rapidement le filtre principal. Ce préfiltre, moins onéreux (5 €-10 €), se change tous les deux mois.
- Surveillez la pression différentielle (différence de pression entre l’amont et l’aval du filtre) à l’aide d’un manomètre si votre système en est équipé. Un écart supérieur à 150 Pa indique un filtre saturé et nécessite un remplacement immédiat.
- Sélectionnez un filtre adapté à votre environnement : si vous vivez à proximité d’une zone très passante, privilégiez un filtre plissé haut de gamme (MERV 13 ou ISO ePM2,5 > 65 %). Dans une maison sans animaux et faiblement sollicitée, un MERV 8/ISO ePM10 > 50 % suffit pour un bon équilibre performance-coût.
Avantages d’un filtre performant
Au-delà de la simple filtration des poussières, un filtre de qualité apporte des bénéfices tangibles en termes de confort, de santé et d’économies.
Amélioration de la qualité de l’air intérieur
Selon l’Agence européenne pour l’environnement, l’air intérieur peut être jusqu’à cinq fois plus pollué que l’air extérieur, en raison de la concentration de polluants d’origine domestique (peintures, cosmétiques, produits d’entretien) et extérieurs (poussières fines, particules autoroutières). Un filtre capable de capturer les particules PM2,5 à 90 % réduit de manière significative le risque d’allergies, de crises d’asthme et de maladies respiratoires chroniques. Par exemple, une étude mené en 2019 a montré qu’en plaçant un filtre HEPA (équivalent ISO ePM1 > 75 %) dans un local de 30 m² pendant 8 heures, les concentrations de microparticules ont chuté de 78 %, avec une amélioration sensible des symptômes chez les personnes asthmatiques (réduction de 60 % des crises). Même si les filtres HEPA sont plus coûteux (environ 50 €-70 € pour un filtre de climatiseur standard), l’investissement se justifie par le bien-être et la santé des occupants, surtout dans les zones urbaines.
Meilleure efficacité énergétique et réduction des coûts
Un filtre propre et performant permet à la climatisation de fonctionner à son rendement optimal. À débit d’air constant, un filtre de haute qualité limite les pertes de charge à moins de 5 % sur une période de 3 mois, contre 15 % pour un filtre standard encrassé. Concrètement, cela se traduit par une consommation électrique réduite de 8 % à 12 % en moyenne sur une saison estivale. Si l’on prend un climatiseur de 12 000 BTU/h (3,5 kW) consommant 1 200 W à runtime, une opération de substitution d’un filtre plissé obstrué par un filtre neuf permet d’économiser jusqu’à 100 € par an sur la facture électrique, en fonction du tarif local. Sur la durée de vie de l’appareil (environ 10 ans), ces économies peuvent dépasser 800 €.
Prolongation de la durée de vie du système
Les composants internes d’un climatiseur, tels que le compresseur et l’évaporateur, sont sensibles à l’encrassement. Un filtre mal entretenu laisse passer la poussière qui se dépose sur les ailettes de l’évaporateur, réduisant sa capacité d’échange et favorisant la formation de givre. Cela peut entraîner un cycle de dégivrage plus fréquent, une détérioration du compresseur et, à terme, une panne prématurée. En moyenne, un climatiseur dont le filtre est remplacé tous les quatre mois voit sa durée de vie prolongée de 2 ans par rapport à un appareil négligé. Considérant qu’un système complet coûte entre 600 € et 1 200 €, ajouter 20 € par filtre tous les 3 mois représente un investissement minime pour éviter une panne coûtant plusieurs centaines d’euros.
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