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Test d'analyse d'eau

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Test d'analyse d'eau
Comprendre le test d'analyse d'eau
Pourquoi analyser votre eau ?
Analyser votre eau, c’est d’abord s’assurer que ce liquide indispensable à la vie ne présente pas de risques pour la santé. En France, l’eau potable est l’un des aliments les plus contrôlés, mais il peut arriver que des problèmes ponctuels (travaux sur le réseau, pollution locale, dysfonctionnement de la station d’épuration) altèrent la qualité. Pour les particuliers qui utilisent un puits ou une forage, l’analyse est encore plus critique, car l’eau souterraine peut contenir des niveaux élevés de nitrates, de fer, de manganèse ou même de bactéries coliformes. Au-delà de la santé, l’analyse permet également de prévenir des dommages matériels : une eau trop dure (supérieure à 25 °f) favorise le dépôt calcaire dans les canalisations et les appareils électroménagers, réduisant leur durée de vie et augmentant la consommation d’énergie pour le chauffage. À l’inverse, une eau trop douce peut être corrosive et attaquer les tuyaux en cuivre, provoquant fuites ou contaminations par le plomb. Enfin, pour les jardiniers ou les piscines, connaître la composition de l’eau est indispensable pour ajuster les traitements (pH, chlore, brome) et préserver la santé des plantes ou des baigneurs.
Comprendre le test d'analyse d'eau
Pourquoi analyser votre eau ?
Analyser votre eau, c’est d’abord s’assurer que ce liquide indispensable à la vie ne présente pas de risques pour la santé. En France, l’eau potable est l’un des aliments les plus contrôlés, mais il peut arriver que des problèmes ponctuels (travaux sur le réseau, pollution locale, dysfonctionnement de la station d’épuration) altèrent la qualité. Pour les particuliers qui utilisent un puits ou une forage, l’analyse est encore plus critique, car l’eau souterraine peut contenir des niveaux élevés de nitrates, de fer, de manganèse ou même de bactéries coliformes. Au-delà de la santé, l’analyse permet également de prévenir des dommages matériels : une eau trop dure (supérieure à 25 °f) favorise le dépôt calcaire dans les canalisations et les appareils électroménagers, réduisant leur durée de vie et augmentant la consommation d’énergie pour le chauffage. À l’inverse, une eau trop douce peut être corrosive et attaquer les tuyaux en cuivre, provoquant fuites ou contaminations par le plomb. Enfin, pour les jardiniers ou les piscines, connaître la composition de l’eau est indispensable pour ajuster les traitements (pH, chlore, brome) et préserver la santé des plantes ou des baigneurs.
Analyser une fois ne suffit pas : la qualité peut évoluer. Une inspection annuelle est recommandée pour les puits privés, et un contrôle semestriel peut être judicieux pour l’eau de ménage dans certaines zones rurales à risque. L’objectif n’est pas de devenir technicien, mais d’avoir les repères de base : un pH compris entre 6,5 et 8,5, une teneur en nitrates inférieure à 50 mg/L, et une dureté généralement entre 15 °f et 25 °f pour une eau dite « moyennement dure ». Lorsque les seuils légaux sont dépassés, il est nécessaire d’agir rapidement : installer un système de traitement adapté (adoucisseur, filtre à charbon actif, osmose inverse, etc.) ou contacter un professionnel pour une analyse plus poussée.
Analyser son eau, c’est aussi faire des économies. En connaissant la concentration en calcaire, vous évitez l’achat systématique de produits anticalcaires ou le remplacement prématuré de votre chaudière et de vos carafes filtrantes. De même, si des traces de métaux lourds (plomb, cuivre, nickel) sont détectées, vous anticipez les problèmes de corrosion et les risques d’exposition à long terme. Enfin, pour les familles avec des nourrissons, des personnes âgées ou immunodéprimées, la vigilance est encore plus importante : la présence de bactéries (Escherichia coli, coliformes totaux) peut rapidement devenir critique et justifier l’utilisation d’eau embouteillée ou de systèmes de stérilisation à la source.
Différents types de tests d'analyse d'eau
Test en laboratoire
L’analyse en laboratoire reste la méthode la plus fiable pour obtenir un diagnostic complet de la qualité de votre eau. Elle permet de mesurer un grand nombre de paramètres (jusqu’à une quarantaine) : nitrates, nitrites, sulfates, fluorures, métaux lourds (plomb, mercure, arsenic), hydrocarbures aromatiques, résidus de pesticides, bactéries coliformes, and so on. Le laboratoire agréé prélève un échantillon selon un protocole strict : flacon stérile, conservation au froid, dépôt dans un délai court (généralement 24 à 48 heures). Le coût d’une analyse standard varie généralement entre 50 € et 150 €, selon le nombre de paramètres demandés. Par exemple, une analyse « potabilité de l’eau de forage » pour contrôler la présence de nitrates, coliformes, dureté et pH peut coûter aux alentours de 70 €. Si vous suspectez une contamination chimique (ex : pesticides agricoles), il faut prévoir un budget jusqu’à 200 € ou plus pour des analyses spécifiques.
L’avantage principal est la fiabilité des résultats : le laboratoire utilise des appareils performants (spectrométrie de masse, chromatographie en phase gazeuse) et des méthodes normalisées (ISO 17025). Vous recevez un rapport détaillé indiquant la concentration de chaque substance analysée, accompagné d’une interprétation face aux seuils réglementaires en vigueur (arrêté du 11 janvier 2007 relatif à la qualité de l’eau destinée à la consommation humaine). Grâce à ces données chiffrées, vous pouvez prendre des décisions éclairées : installer un adoucisseur si la dureté dépasse 25 °f, choisir un filtre anti-nitrates si le taux est supérieur à 50 mg/L, ou encore procéder à un traitement aux UV pour éliminer les bactéries détectées. En revanche, ce type de test n’est pas toujours accessible en urgence (délais pour l’envoi et l’analyse) et peut être contraignant si vous ne savez pas où vous rendre pour le dépôt de l’échantillon.
Kits à faire soi-même
Pour les particuliers qui souhaitent un contrôle rapide et à moindre coût, les kits d’analyse à faire soi-même représentent une excellente alternative. Disponibles sur Geoplanete.fr, ces kits se présentent souvent sous forme de bandelettes réactives ou de gouttes avec comparateur de couleurs. En général, un kit pour l’analyse du pH, de la dureté et du chlore coûte entre 15 € et 30 €. Certains kits spécialisés permettent de mesurer la concentration en nitrates, nitrites, métaux lourds ou même la présence de bactéries coliformes, pour des tarifs allant jusqu’à 50 €. Leur utilisation est simple : il suffit de plonger la bandelette dans l’échantillon d’eau (robinet, puits, piscine), d’attendre quelques secondes et de comparer ensuite la couleur obtenue avec une échelle graduée. Certains modèles plus évolués intègrent un petit photomètre portable qui fournit une mesure numérique plus précise, avec un coût autour de 100 €.
Les avantages des kits maison sont multiples : rapidité (résultat en moins d’une minute), simplicité (pas besoin d’être technicien) et possibilité de tester à tout moment sans se déplacer. Ils conviennent particulièrement pour surveiller l’eau de la piscine (pH, chlore/brome/oxygène actif), l’eau de l’aquarium, ou encore vérifier ponctuellement l’eau du puits après de fortes pluies. Néanmoins, la précision des résultats reste inférieure à celle d’un laboratoire, surtout pour les paramètres critiques comme les métaux lourds ou les micro-organismes. Les bandelettes peuvent présenter une marge d’erreur de l’ordre de ±10 à ±20 % selon la qualité du lot et la température ambiante. C’est pourquoi, en cas de doute ou de résultats inquiétants (taux en nitrates proche du seuil réglementaire, résultats contradictoires avec les kits précédents), il est recommandé de confirmer avec une analyse en laboratoire.
Paramètres clés mesurés lors d'une analyse d'eau
pH de l'eau
Le pH est une mesure fondamentale de l’acidité ou de la basicité de l’eau. Il se situe sur une échelle de 0 à 14, où 7 est considéré comme neutre. En France, l’eau potable doit avoir un pH compris entre 6,5 et 8,5 (arrêté du 11 janvier 2007). Un pH inférieur à 6,5 peut indiquer une eau acide, susceptible de corroder les tuyauteries en cuivre ou en acier galvanisé, libérant ainsi du plomb ou du fer dans l’eau consommée. Un pH supérieur à 8,5 est souvent le signe d’une eau calcaire, avec un risque d’entartrage accru : dépôts de calcaire dans la chaudière, formation de tartre sur les résistances électriques, et réduction de l’efficacité énergétique des appareils de chauffage. En pratique, la mesure du pH à l’aide d’un kit à bandelettes ou d’un photomètre portatif coûte environ 10 €. Les extensions de test disponibles sur Geoplanete permettent de combiner la mesure du pH avec celle du chlore, du nitrate ou de la dureté pour un prix unique autour de 20 €. L’idéal est de tester le pH tous les 3 à 6 mois, voire plus fréquemment si vous constatez des variations de goût ou d’odeur (eau qui a un goût métallique, sécheresse de la peau après la douche).
Dureté (TH)
La dureté de l’eau (exprimée en degrés français, °f) correspond à la concentration en ions calcium et magnésium. En France, une eau est considérée comme douce si sa dureté est inférieure à 15 °f, moyennement dure entre 15 et 25 °f, dure entre 25 et 40 °f, et très dure au-delà de 40 °f. Une eau trop dure engendre un dépôt de calcaire sur les résistances des appareils électroménagers (lave-linge, chaudière, chauffe-eau), ce qui augmente leur consommation électrique de 5 à 15 % et réduit leur durée de vie. Un test de dureté à la bandelette coûte environ 10 € sur Geoplanete, et mesure directement la concentration en calcium (en mg/L) et magnesium (en mg/L). Par exemple, 10 °f correspondent à 57 mg/L de calcium, tandis que 20 °f atteignent 114 mg/L. Si votre eau est au-dessus de 25 °f, l’installation d’un adoucisseur peut générer des économies de maintenance importantes, avec un retour sur investissement en 2 à 3 ans, selon votre consommation.
Nitrates, nitrites et pesticides
En milieu rural ou périurbain, la présence de nitrates et de pesticides dans l’eau peut être un enjeu majeur, particulièrement à la suite de fertilisations agricoles ou de lessivage des sols après les périodes de fortes pluies. Le seuil réglementaire pour les nitrates est fixé à 50 mg/L pour l’eau potable. Un dépassement peut entraîner des risques pour la santé, notamment chez les nourrissons (syndrome du « bébé bleu »). Les kits à faire soi-même pour nitrates coûtent environ 20 € chez Geoplanete et offrent une marge d’erreur de ±10 %. En cas de résultat supérieur à 40 mg/L, il est conseillé de réaliser une analyse en laboratoire pour confirmer le taux exact et envisager un traitement par osmose inverse ou un filtre sélectif. Certains kits permettent également de détecter les résidus de pesticides (atrazine, glyphosate) pour un prix plus élevé, autour de 50 €, mais leur usage reste occasionnel, adapté aux exploitations agricoles ou aux riverains proches de zones à risque.
Métaux lourds (plomb, cuivre, arsenic, mercure)
Les métaux lourds peuvent provenir de la corrosion des canalisations anciennes (plomb, cuivre), de la pollution industrielle (arsenic, mercure) ou de la géologie locale (arsenic dans certaines régions granitiques). Le plomb, en particulier, est très toxique pour le système nerveux, surtout chez l’enfant. En France, le seuil maximal pour le plomb dans l’eau potable est de 10 µg/L (microgrammes par litre). Un kit de détection du plomb à faire soi-même coûte environ 30 € sur Geoplanete et peut détecter des concentrations à partir de 5 µg/L. Dans le cas d’un résultat positif, même à faible concentration, il est impératif d’installer un filtre à charbon actif spécifique ou de changer la canalisation en plomb. Pour d’autres métaux, comme l’arsenic ou le mercure, le test maison reste limité : la sensibilité est parfois insuffisante pour détecter des concentrations inférieures à 1 µg/L. Ainsi, dès qu’il s’agit de métaux lourds, l’analyse en laboratoire est généralement recommandée, avec un coût de 80 € à 150 € selon le nombre de métaux recherchés.
Bactéries et contaminants microbiologiques
La présence de bactéries, notamment les coliformes totaux et Escherichia coli, est un indicateur clé de la contamination fécale et du risque sanitaire. Un test bactérien en laboratoire consiste à prélever l’eau dans un flacon stérile, puis à réaliser une mise en culture sur un milieu gélosé, avec un temps d’incubation de 24 à 48 heures. Le prix pour une détection de coliformes et d’E. coli en laboratoire se situe autour de 60 €. Pour un usage domestique, Geoplanete propose des kits de détection rapide à la bouteille réactif : on verse un réactif dans un échantillon, on referme hermétiquement, puis on attend 24 heures pour observer un changement de couleur. Ce système, à environ 35 €, permet de détecter la présence (oui/non) de bactéries, mais pas la concentration précise. En cas de test positif, il est indispensable de faire appel à un professionnel pour un traitement aux UV, une chloration contrôlée ou un choc thermique, selon l’origine de la contamination (puits, canalisation, réservoir).
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