- Accueil
- Gaine isolée
Gaine isolée

-
Gaine D200 mm souple Isolée 50 mm - L10 m
Prix habituel 91,99 €Prix promotionnel 91,99 € Prix habituelPrix unitaire / parEn stock -
Gaine D160 mm Souple Isolée 50 mm - L10 m
Prix habituel 160,80 €Prix promotionnel 160,80 € Prix habituelPrix unitaire / parEn stock -
Gaine D160Mm Souple Isolée 25mm - L10M
★★★★★★★★★★(1 avis)Prix habituel 59,90 €Prix promotionnel 59,90 € Prix habituelPrix unitaire / parEn stock -
Gaine D250mm Souple Isolée 25 mm - L10M
Prix habituel 69,99 €Prix promotionnel 69,99 € Prix habituelPrix unitaire / parEn stock -
Gaine isolée laine de verre M0/M1 diamètre 200 mm
Prix habituel 89,90 €Prix promotionnel 89,90 € Prix habituelPrix unitaire / parEn stock -
Gaine isolée polyester multicouche - 250 Mm
Prix habituel 95,00 €Prix promotionnel 95,00 € Prix habituelPrix unitaire / parEn stock -
Gaine isolée laine de verre M0/M1 diamètre 250 Mm
Prix habituel 104,78 €Prix promotionnel 104,78 € Prix habituelPrix unitaire / parEn stock -
Gaine isolée polyester multicouche - 200 Mm
Prix habituel 95,00 €Prix promotionnel 95,00 € Prix habituelPrix unitaire / parEn stock
Gaine isolée
La performance d’un système de climatisation ne tient pas seulement à la qualité de l’unité intérieure ou extérieure, mais aussi à la conception et à l’isolation de son réseau de gaines. En effet, les déperditions thermiques et la condensation dans les conduits peuvent réduire significativement le rendement énergétique et engendrer des désagréments tels que l’humidité ou le bruit.
La performance d’un système de climatisation ne tient pas seulement à la qualité de l’unité intérieure ou extérieure, mais aussi à la conception et à l’isolation de son réseau de gaines. En effet, les déperditions thermiques et la condensation dans les conduits peuvent réduire significativement le rendement énergétique et engendrer des désagréments tels que l’humidité ou le bruit.
Comprendre l’importance des gaines isolées
Rôle de l’isolation dans le réseau de gaines
L’isolation des gaines de climatisation a pour mission principale de limiter les pertes de froid entre l’unité de production et les bouches de diffusion, garantissant ainsi une température homogène dans toutes les pièces. Sans une isolation adaptée, jusqu’à 30 % de l’énergie frigorifique peut être perdue avant même d’atteindre la pièce à climatiser, ce qui se traduit par une surconsommation électrique et une usure prématurée du compresseur. De plus, une gaine mal isolée favorise la condensation de l’air intérieur sur la paroi, générant ainsi gouttelettes, corrosion et développement de moisissures. L’isolation thermique contribue aussi à atténuer les bruits de circulation d’air et les vibrations émises par l’appareil de climatisation, améliorant considérablement le confort acoustique. En investissant dans une gaine isolée performante, on optimise le coefficient de performance saisonnier (SCOP) de l’installation et on réduit l’empreinte carbone liée à la production d’énergie. Enfin, une isolation adaptée facilite la gestion des flux d’air et la régulation de la température, indispensables pour répondre aux exigences des maisons BBC ou des bâtiments à basse consommation.
Enjeux énergétiques et économiques
Sur un plan financier, l’absence d’une isolation efficace peut alourdir la facture d’électricité de 10 à 20 % en période estivale, selon la puissance et la configuration du réseau de gaines. À l’échelle d’une maison individuelle, cela représente plusieurs centaines d’euros de dépenses supplémentaires chaque année. Par ailleurs, dans un contexte de flambée des prix de l’énergie et de renforcement des normes environnementales, les particuliers sont de plus en plus incités à optimiser leur consommation. L’installation de gaines isolées climatisation performantes permet de bénéficier d’un retour sur investissement en moins de cinq ans, en prenant en compte les économies d’énergie et la valorisation du bien immobilier. Sur le plan écologique, la réduction de la consommation électrique se traduit par une baisse directe des émissions de CO₂, un argument de poids face aux enjeux du réchauffement climatique. Enfin, la pérennité de l’équipement étant prolongée grâce à une sollicitation moins intensive du compresseur, l’utilisateur réalise également des économies de maintenance et de remplacement des composants.
Matériaux utilisés pour vos gaines
Laine de verre
La laine de verre est un matériau isolant traditionnel très prisé pour les gaines de climatisation en raison de son excellent rapport qualité-prix et de ses performances thermiques adaptées aux réseaux de ventilation. Sa conductivité thermique se situe généralement entre 0,030 et 0,040 W/m·K, ce qui garantit une très bonne résistance aux transferts de chaleur. Disponible en épaisseurs variées (de 9 à 25 mm), elle peut être associée aux diamètres D160, D200 ou D250 proposés sur Geoplanete.fr pour répondre à toutes les configurations d’installation. La laine de verre se découpe facilement et épouse parfaitement la forme cylindrique des conduits, assurant une couverture homogène sans ponts thermiques. Son coût moyen au mètre linéaire isolant oscille entre 4 € et 7 €, selon l’épaisseur et le fournisseur, ce qui la rend accessible pour les budgets modestes. En termes de sécurité, elle est classée M0 (non inflammable) et dispose d’un revêtement extérieur en aluminium ou en film polyéthylène qui facilite l’étanchéité à l’air et la pose d’un adhésif dédié. La matière est également reconnue pour ses propriétés phoniques, garantissant une atténuation de 20 à 25 dB sur les fréquences liées au passage de l’air.
Gaine isolée polyester
Le polyester est un isolant plus récent dans le domaine des gaines de climatisation, souvent proposé sous la forme de matelas ou de manchons prêts à l’emploi. Sa conductivité thermique tourne autour de 0,038 W/m·K, ce qui le place légèrement au-dessus de la laine de verre, mais reste tout à fait adapté aux installations domestiques et tertiaires. Le principal atout du polyester est sa légèreté : un manchon de diamètre D160 et d’une épaisseur de 25 mm pèse environ 0,5 kg/m, contre plus de 1 kg/m pour la laine de verre équivalente.
Cette caractéristique facilite grandement la manutention et la pose, surtout pour les longueurs supérieures à deux mètres et les diamètres plus importants comme le D200 ou le D250. En outre, le polyester ne libère pas de fibres irritantes lors de la découpe, ce qui améliore le confort de l’installateur et réduit les besoins en équipements de protection. Le revêtement extérieur en film plastique micro-perforé assure une bonne perméabilité à la vapeur d’eau tout en conservant l’étanchéité à l’air. Côté acoustique, le polyester offre une réduction de bruit comparable à la laine de verre, entre 18 et 22 dB selon l’épaisseur. Son prix de revient se situe entre 6 € et 9 € par mètre linéaire, un peu plus élevé que la laine de verre, mais justifié par la facilité de pose et le caractère « écologique » du matériau, souvent issu de fibres recyclées.
Comparatif et choix du diamètre
Comment choisir entre D160, D200 et D250 ?
Le choix du diamètre de gaine dépend principalement du débit d’air nécessaire pour climatiser confortablement la pièce cible. Un diamètre D160 permet un flux de l’ordre de 150 à 200 m³/h, suffisant pour une chambre ou un petit bureau jusqu’à 15 m². Pour un salon ou une salle à manger de 20 à 30 m², on privilégiera un D200, capable de véhiculer entre 250 et 350 m³/h sans générer une perte de charge excessive. Enfin, le D250 est recommandé pour les espaces ouverts ou les ensembles de plusieurs pièces, avec un débit maximal pouvant dépasser 450 m³/h. Un calcul précis du débit se fait en multipliant la puissance frigorifique de l’unité (en kilowatts) par un coefficient de 120 à 150 m³/h par kW, tout en tenant compte des longueurs de gaine et des coudes, qui ajoutent des pertes de charge. Par exemple, une pompe à chaleur de 5 kW nécessitera environ 600 m³/h, donc deux alimentations en D200 ou une seule en D250. En pratique, on limite le nombre de coudes à trois maximum pour conserver un rendement optimal. Les dépassements de débit peuvent engendrer du bruit excessif et une usure prématurée du ventilateur, tandis qu’un diamètre sous-dimensionné provoquera une surconsommation électrique et une chute de pression. Enfin, le confort thermique dépend aussi de la vitesse de l’air à la bouche de diffusion, idéale entre 2 et 3 m/s pour éviter les courants d’air désagréables.
Installation et bonnes pratiques
Préparation du réseau et pose des gaines
Avant toute pose, il est impératif de définir précisément le parcours des gaines en limitant au maximum les zones encombrées et en regroupant les conduits dans une gaine technique multi-services si possible. Le traçage au sol ou au plafond permet de visualiser l’emplacement des coudes et des supports, essentiels pour maintenir la gaine isolée sans affaissement. Chaque gaine est découpée à longueur sur mesure, en prenant soin de prévoir un léger surplus de 2 à 3 cm pour les ajustements et la superposition des manchons d’assemblage. Lors de la pose, l’isolation doit toujours couvrir complètement la surface métallique, sans laisser de zones à nu susceptibles de former des ponts thermiques. Les jonctions entre segments sont réalisées avec des rubans adhésifs spécifiques pour climatisation, garantissant l’étanchéité à l’air et la tenue dans le temps. Les colliers de fixation sont espacés de 1 mètre maximum, et équipés d’un isolant de protection pour éviter la perforation du manchon. Pour les passages en point chaud ou humide, on privilégie un flexible PVC isolé à âme aluminium, plus résistant à la corrosion et à la dilatation. Enfin, avant la mise en service, un test d’étanchéité à l’aide d’un manomètre permet de s’assurer qu’aucune fuite ne viendra compromettre le rendement de l’installation.
Scellement et finitions
Une fois les gaines installées, il convient de reboucher soigneusement les traversées de cloison ou de plancher avec un mastic acrylique souple, compatible avec les mouvements du bâtiment. Les grilles de soufflage et d’extraction sont fixées en dernière étape, après avoir ajusté le débit à l’aide de registres de réglage pour équilibrer l’installation. Le positionnement des bouches doit être étudié pour éviter les zones d’air stagnante et assurer une diffusion homogène, idéalement à 20 cm du plafond pour les plafonds standards et à 30 cm pour les grandes hauteurs. En extérieur, les gaines rigides isolées doivent être protégées par une gaine tôle ou un bac acier si elles sont exposées aux intempéries. Pour un rendu esthétique, on peut peindre les gaines PVC isolées aux couleurs du plafond ou des murs, à condition d’utiliser une peinture à faible émission de COV pour préserver la qualité de l’air intérieur.
FAQ
Qu’est-ce qu’une gaine isolée pour climatisation et pourquoi l’utiliser ?
Une gaine isolée climatisation est un conduit recouvert d’un matériau isolant (laine de verre, polyester, etc.) qui limite les pertes thermiques et la condensation. Elle améliore le rendement énergétique de votre installation, prévient l’apparition de moisissures et réduit le bruit généré par le flux d’air.
Quelle est la différence entre gaine isolée laine de verre et gaine isolée polyester ?
- Laine de verre : conductivité thermique de 0,030–0,040 W/m·K, bon rapport qualité-prix, revêtement alu ou PE, classée M0.
- Polyester : conductivité ~0,038 W/m·K, plus légère (0,5 kg/m pour D160), sans fibres irritantes, souvent issue de fibres recyclées et naturellement résistante à l’humidité.
Comment choisir le diamètre adapté (D160, D200, D250) pour mes gaines ?
- D160 : 150–200 m³/h – idéal pour pièces ≤ 15 m²
- D200 : 250–350 m³/h – adapté aux salons de 20–30 m²
-
D250 : > 450 m³/h – pour grands volumes ou plusieurs pièces
Calculez le débit nécessaire (120–150 m³/h par kW frigorifique) et tenez compte des longueurs et coudes.
Lire la suite