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Ventillo-convecteur

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Ventillo-convecteur
Qu’est-ce qu’un ventillo‑convecteur et pourquoi l’adopter ?
Un ventillo‑convecteur est une unité murale ou encastrée qui allie ventilation et chauffage (ou rafraîchissement). Raccordé à un circuit d’eau chaude ou froide — souvent issu d’une pompe à chaleur —, il diffuse une température homogène rapidement et efficacement. Contrairement à un radiateur classique, il dispose d’un ventilateur intégré qui pousse l’air chaud (ou frais) dans la pièce, assurant une montée en température (ou une baisse) plus rapide.
Qu’est-ce qu’un ventillo‑convecteur et pourquoi l’adopter ?
Un ventillo‑convecteur est une unité murale ou encastrée qui allie ventilation et chauffage (ou rafraîchissement). Raccordé à un circuit d’eau chaude ou froide — souvent issu d’une pompe à chaleur —, il diffuse une température homogène rapidement et efficacement. Contrairement à un radiateur classique, il dispose d’un ventilateur intégré qui pousse l’air chaud (ou frais) dans la pièce, assurant une montée en température (ou une baisse) plus rapide.
Ce système se décline en plusieurs modèles : deux tubes réversibles (chauffage + rafraîchissement), quatre tubes (aux différents besoins simultanés de plusieurs zones), ou encore hybride (2 tubes + résistance électrique). La version la plus courante, celle à 2 tubes réversibles, permet une utilisation deux-en-un : chauffage en hiver, climatisation légère en été, tout en restant discrète et silencieuse. Les modèles à 4 tubes, quant à eux, assurent un confort individualisé dans des configurations complexes (bureaux, ensembles résidentiels), même si leur installation est plus coûteuse et technique.
Comment fonctionne un ventillo‑convecteur ?
Un ventillo‑convecteur comporte trois éléments essentiels : un échangeur thermique, un ventilateur, et une régulation. L’échangeur est traversé par de l’eau chaude (pompe à chaleur, chaudière) ou froide (récupération en été). L’air de la pièce est aspiré, chauffé ou refroidi au contact, puis soufflé via le ventilateur dans la pièce, contrôlé par thermostat pour maintenir la température cible.
Par exemple, un petit modèle mural peut chauffer rapidement un bureau ou une chambre, en soufflant un flux d’air chauffé à effet enveloppant. En été, la même unité, en mode rafraîchissement, fonctionne avec un bac de condensation, très proche d’une climatisation réversible légère.
Contrairement aux radiateurs à inertie ou planchers chauffants, le ventillo‑convecteur joue la carte de la réactivité : idéal pour lorsque les besoins varient dans la journée. Pour les grandes pièces, la version gainable — plafond — diffuse uniformément l’air sans encombrer visuellement l’espace.
Les différents types de ventillo‑convecteurs détaillés
2 tubes réversibles
Le modèle le plus répandu : un seul échangeur, deux tuyaux. L’eau passe chaude ou froide selon la saison, l’unité diffuse alors de l’air chauffé ou rafraîchi. Simple à installer, peu coûteux, il offre un confort rapide tout en restant élégant et peu bruyant, souvent < 30 dB en basse vitesse.
4 tubes
Deux batteries et quatre tuyaux permettent de chauffer certaines zones tout en refroidissant d’autres. Très précis et confortable pour des espaces multi-zones, hôtels ou bureaux. Inconvénient : installation complexe, coût élevé, adapté surtout aux bâtiments tertiaires.
Hybride (2 tubes + résistance)
Ce modèle combine pompe à chaleur et résistance électrique : l’eau fournit le gros de la chaleur, et la résistance prend le relais lorsque la température extérieure chute ou que la PAC ne suffit plus. Avantage : flexibilité. Inconvénient : surcoût d’électricité si utilisation fréquente.
Moteurs à courant continu (BLDC)
Certains modèles haut de gamme utilisent un moteur BLDC (brushless) : plus efficaces, plus silencieux, et permettant une variation fine de la vitesse du ventilateur. Bien que le prix initial soit plus élevé, les économies d’énergie peuvent compenser cet investissement sur quelques années.
Avantages et limites de ce système
Parmi les avantages, on compte la rapidité de chauffe ou de rafraîchissement, la discrétion sonore, et l’esthétique minimaliste — certains modèles muraux sont presque invisibles. Ils s’intègrent facilement dans une rénovation, avec peu de travaux comparés à un plancher chauffant.
L’unité ventilée offre un confort immédiat : idéal pour des pièces utilisées ponctuellement. Côté sanitaire, un filtre piège poussières et allergènes, ce qui améliore la qualité de l’air intérieur.
Toutefois, quelques limites : bruit potentiel — même si les modèles récents restent silencieux, notamment en basse vitesse —, et absence de traitement de l’air neuf : la ventilation est uniquement en circuit fermé. Il est donc recommandé de coupler le système à une VMC pour assurer renouvellement d’air et éviter ponts thermiques.
Pour quelle habitation ?
Pour bien choisir un ventillo‑convecteur, trois grandes questions se posent :
- Puissance nécessaire : elle dépend du volume de la pièce, de l’isolation et de l’usage. En général, entre 1 kW (petite chambre) et 10 kW (grande pièce ou rez-de-chaussée ouvert).
- Nombre de tubes : 2 tubes suffisent pour une maison classique. 4 tubes sont recommandés pour des configurations complexes ou multi-zones.
- Installation : encastré dans un plafond, gainable, mural ou console — chaque format a ses usages. En rénovation légère, le modèle mural est le plus simple. En neuf, une version gainable offre un confort discret et uniforme.
Comparaison entre ventillo‑convecteur et autres systèmes de chauffage ou climatisation
Face aux radiateurs à eau
Les radiateurs hydrauliques sont largement utilisés en France, notamment couplés à une chaudière ou une pompe à chaleur. Ils offrent une chaleur douce mais relativement lente à monter. Un ventillo‑convecteur, lui, accélère la diffusion de chaleur grâce à son ventilateur. Par exemple, dans une pièce mal isolée ou très exposée au froid, un radiateur mettra 30 à 45 minutes à atteindre la température souhaitée. Un ventillo‑convecteur peut le faire en 10 à 15 minutes seulement.
Autre différence : la répartition de l’air. Un radiateur chauffe principalement par convection naturelle, souvent en bas de la pièce. Le ventillo‑convecteur, lui, crée un flux plus homogène, réduisant les écarts de température entre le sol et le plafond. Il est donc particulièrement adapté aux volumes ouverts ou aux grandes hauteurs sous plafond.
Comparé à la climatisation réversible
Une clim réversible est un système aérothermique autonome : elle capte les calories de l’air extérieur pour chauffer ou refroidir, comme une pompe à chaleur air/air. En revanche, un ventillo‑convecteur fonctionne avec de l’eau chaude ou froide fournie par une source centrale (PAC air/eau, chaudière, réseau de chaleur).
L’avantage d’un ventillo‑convecteur est sa polyvalence en distribution : avec une seule pompe à chaleur centralisée, il est possible d’alimenter plusieurs unités en chauffage et rafraîchissement. L’installation est souvent moins visible, et le confort acoustique meilleur (notamment dans les versions murales ou gainables).
En revanche, le rafraîchissement offert par un ventillo‑convecteur reste modéré. Il ne produit pas de froid aussi intense qu’une vraie climatisation, car il se limite à abaisser la température de quelques degrés. Cela suffit pour améliorer le confort d’été dans les régions tempérées, mais pas forcément dans le sud ou pendant les canicules.
Où installer un ventillo‑convecteur ? Bonnes pratiques
L’emplacement du ventillo‑convecteur conditionne son efficacité et son confort acoustique. Il doit être positionné de manière à :
- Ne pas souffler directement sur les occupants (pour éviter l’inconfort en mode froid),
- Assurer une bonne circulation de l’air dans toute la pièce,
- Faciliter l’entretien régulier (nettoyage des filtres, accès aux connexions),
- Être raccordé à un réseau hydraulique accessible (ou une pompe à chaleur à proximité).
Pièces adaptées
- Salon ou pièce à vivre : privilégiez un modèle mural ou encastré plafond si la hauteur le permet. Cela permet une diffusion uniforme sans occuper l’espace mural bas.
- Chambres : optez pour des modèles silencieux avec régulation précise. Certains ventillo‑convecteurs disposent d’un mode « nuit » abaissant le débit d’air pour limiter les nuisances sonores (moins de 25 dB).
- Bureaux ou pièces secondaires : le ventillo‑convecteur est parfait pour les usages intermittents. Sa montée rapide en température permet de chauffer uniquement quand c’est nécessaire, ce qui réduit la facture énergétique.
- Combles aménagés ou vérandas : dans ces espaces souvent difficiles à chauffer, la réactivité du système permet un confort rapide, sans installer un second système indépendant.
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